C'est marrant les recherches que vous faites, vous autres gens du Nord, sur les perruques en poils pubiens. Quant à moi, modeste et éternel étudiant en cyrurgie, je préfère mettre le nez dans une foune plutôt que sur la tête !
Il se trouve que j'ai justement une perruque en poils de yavk (animal à trois pattes vivant en Vivarais). Je me ferai une joie de la coiffer à Sully (sans déconner).
Enfin en Dauphiné, surtout dans le Valentinois, pour se faire aimer d'une fille, il était conseillé de se mettre quelques poils de son cul dans le nez. On ne sait pas combien de temps il fallait les garder ainsi. Peut-être jusqu'au premier éternuement ? Un orgasme nasal en quelque sorte.
De même pour la jeune femme, qui versait quelques gouttes de son sang menstruel dans le verre de vin du garçon.
En Dauphiné aussi, nous ne sommes jamais bien loin de toutes ses pilosités.