Dés le début du commerce du coton en Europe, celui-ci a été employé pour la préparation des flèches incendiaires. Selon un document qui a été conservé, un armurier nommé Lucerne Laupen a reçu 18 fl. en paiement pour de la futaine pour flèches incendiaires ("furphilen den schurlitztuoch zuo") qu'il avait fourni au gouvernement de Berne pour une utilisation dans l'une des nombreuses querelles du XIVe siècle.
Dans la fabrication de ces flèches incendiaires les fût de fer de celles-ci ont été enroulé de
bandes de cotonnade qui avait été trempée dans un mélange de soufre et de résine, ou encore les flèches ont été placés dans un sac de coton (en vrac pour le coup, je suppose) rempli avec le même mélange.
Avant le tir, les flèches sont mise à feu au moyen d'amadou, celles-ci tombent comme des torches enflammées sur les toits de chaume ou de bardeaux des bâtiments.
lu sur
http://www.elizabethancostume.net/cibas/ciba64.html#4On essaye avec des boulets ?
Thierry il te reste du souffre ?
Quentin, de la résine ?